La Nouvelle Zélande a connu une hausse
importante du nombre de conversions à l’islam, depuis les attaques de
la mosquée de Christchurch.
C’est le cas d’une résidente de Canterbury,
dans l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, qui s’est sentie appelée à
l’islam.
Depuis cet attentat qui a soulevé l’indignation
de par le monde entier, le constat est clair : les Néo-Zélandais
s’engagent et se convertissent à l’islam.
“J’étais toujours en train de chercher ma place et de m’intégrer, car
je ne me suis jamais vraiment intégrée nulle part”, a déclaré Megan
Lovelady, 22 ans.
Même s’il n’existe pas de données officielles qui renseignent sur les
musulmans à l’échelle nationale en Nouvelle-Zélande, les indicateurs
suggèrent néanmoins un intérêt croissant pour la religion islamique.
En effet, à en croire l’imam Nizamul Haq Thanvi, de l’Association
musulmane internationale de Nouvelle-Zélande, immédiatement, après
l’attaque, trois à cinq personnes par jour s’étaient converties dans une
mosquée de Wellington.
Par ailleurs, à Otago, le nombre impressionnant de visiteurs a
entraîné le manque de matériel lors d’une récente journée portes
ouvertes, tandis que les mosquées d’Auckland ont également signalé une
augmentation du nombre de visiteurs.
La même source évoque des milliers de personnes s’étant procurées des
exemplaires du Coran ou d’autres publications.
Mieux, à Manawatu, on
met en place une base de données pour mieux prendre en charge les
nouveaux convertis, signale le média.
Les Cubaines se convertissent de plus en plus à l’Islam. En tout, ce pays compte, aujourd’hui quelque 1200 musulmanes.
Ni la difficulté de trouver de la nourriture
halal ni l’existence d’une seule mosquée dans tout le pays n’ont
dissuadé ces femmes de croire en l’islam.
Bon nombre d’entre elles sont des femmes musulmanes cubaines
converties à l’Islam.
Les raisons de leur conversion sont diverses et
variées, selon le cas : révélation spirituelle, curiosité religieuse ou
relation amoureuse avec un musulman.
Maryam Camejo, 27 ans, est une journaliste convertie à l’islam il y a
sept ans.
A l’en croire, le nombre de femmes et, en particulier, de
femmes plus jeunes, qui ont suivi la même religion qu’elle s’est accru,
ces dernières années.
Cette femme, professionnelle des médias, est ancrée dans la pratique
musulmane.
Elle dispense des cours d’arabe et de Coran à la mosquée de
La Havane, inaugurée en 2015.
Si tout semble bien se dérouler pour Maryam, cela n’est pas le même
cas pour Isaura Argudin.
Cette femme musulmane, une Cubaine de 35 ans, a
affirmé avoir rencontré des difficultés sur son chemin. En cause, un
manque de "connaissances" sur l’île.
Au total, la communauté musulmane compte plus de 6.000 personnes, dont 1.200 femmes, selon la Ligue islamique de Cuba.
Selon Abu Hourayra رضي الله عنه, le Messager d'Allâh صلى الله عليه وسلم a dit :
"Celui qui tue un lézard (gecko) du premier coup a tel nombre de bonnes actions.
Celui qui le tue au deuxième coup a tel nombre de bonnes actions, inférieur au précédent.
Et s'il le tue au troisième coup, il a tel nombre de bonnes actions".
Dans une autre version :
"Celui qui tue un lézard (gecko) du premier coup, on lui inscrit cent bonnes actions.
Si c'est du deuxième coup, il en a un nombre moindre.
Et si c'est au troisième coup, il en a un nombre encore plus petit".
Rapporté par Mouslim 2240 - 146/147
Riyad As-salihin 1864-
- وعن أبي هريرة رضي الله عنه قال: قال رسول الله من
قتل وزغةً في أول ضربةٍ، فله كذا وكذا حسنةً، ومن قتلها في الضربة
الثانية، فله كذا وكذا حسنةً دون الأولى، وإن قتلها في الضربة الثالثة، فله
كذا وكذا حسنة وفي روايةٍ من قتل وزغاً في أول ضربةٍ، كُتب له مائة حسنةٍ، وفي الثانية دون ذلك، وفي الثالثة دون ذلك رواه مسلم (2240) 146 و147
Les lézards (geckos) soufflaient sur le feu pendant qu'Ibrahim s'y trouvait
Selon Oum Charik رضي الله عنها, le Messager d'Allâh صلى الله عليه وسلم lui ordonna de tuer les lézards (gecko) en disant :
"Ils soufflaient en effet sur le bûcher où se trouvait Ibrahim". Rapporté par Al-Boukhâri 6/28 et Mouslim 2237 Ryad As-salihin 1863
وعن أم شريكٍ رضي الله عنها أن رسول الله أمرها بقتل الأوزاغ وقال كان يَنفخ على إبراهيم متفقٌ عليه البخاري 6/281، ومسلم2237
L'érudit Cheikh Mohamed Ibn 'Outheymin رحمه الله dit en explication de ces hadiths dans le sens :
Ces deux hadiths concernent le fait de tuer le gecko.
Et le gecko est un lézard.
Il s'agit de celui qui vient dans les maisons et cause du tort aux gens.
Et le prophète صلى الله عليه وسلم a certes ordonné de le tuer.
Et il y avait chez Aïsha رضي الله عنها une lance avec laquelle elle suivait les geckos et les tuait.
Et
le Prophète صلى الله عليه وسلم a informé que celui qui le tue du
premier coup aura tant et tant de récompense, et du deuxième coup il
aura moins, et du troisième il aura moins.
Tout
cela afin d'inciter les musulmans à prendre l'initiative de le tuer, et
le tuer doit se faire avec force afin qu'il meure du premier coup.
Et
le Prophète صلى الله عليه وسلم l'a nommé pervers, et il nous a informé
qu'il soufflait le feu sur Ibrahim - et le refuge est en Allâh - lorsque
ses ennemis le jetèrent dans le feu afin que sa flamme s'intensifie.
Ce qui indique sa totale hostilité envers les adeptes du tawhid et du culte pur.
C'est
pour cela que l'individu doit poursuivre les geckos dans sa maison ou
dans les marchés, ou dans la mosquée, et les tuer, se conformant à
l'ordre du Prophète صلى الله عليه وسلم, et espérant la rétribution et la
récompense.
Car
il y a dans le hadith d'Abî Hurayrah, que l'auteur a mentionné, le fait
que celui qui le tue du premier coup a 100 bonnes actions, et du
deuxième coup 70 bonnes actions, et du troisième au-dessous de cela.
Et chaque personne parmi nous, œuvre à récolter les bonnes actions.
Nous demandons à Allâh de nous y guider.
Sois
donc ardent mon frère à tuer le gecko, soit avec ta main, soit avec la
sandale, soit avec la pierre, soit avec le caillou ou avec autre que
cela.
Et
nous avons vu précédemment que la Mère des Croyants Aïsha رضي الله عنها
avait préparé à cet effet, une chose qui ressemblait à une lance, avec
laquelle elle tuait les geckos.
Et c'est Allâh qui accorde la réussite.
Explication de Ryad As-Salihin - Tome 6 - Page 693
Cheikh Mohammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين
السلام عليكن ورحمة الله وبركاته
ما معنى "سبحان الله" ؟
Que veut dire "SubhanaAllah" ?
Son sens est très profond !
la parole (سبحان) "subhana" vient du verbe "sabaha" (سبح) qui veut dire dans son langage de base "s'éloigner de quelque chose".
Lorsque le musulman dit "SubhanaAllah" il dit en réalité qu'Allah est loin de tout manquement et de tout défaut.
Lorsque tu dis "SubhanaAllah" tu reconnais qu'aucun défaut n'est proche
d'Allah azza wa jal, qu'Il n'est atteint d'aucun manquement (Il
n'oublie pas, Il ne dort pas, Il ne mange pas, Il ne se fatigue pas..)
Il est parfait subhanahu wa ta'Ala!
=> cette phrase sert à englober tous les défauts possibles pour les éloigner d'Allah azza wa jal!
C'est pour cela que, dans le qur'an, dans sourate el baqarah verset
116, lorsque les Chrétiens ont dis Qu'Allah a un enfant, Allah ta'Ala a
répondu [subhnahu], Il y aurait pu répondre [non Il n'a pas d'enfant]
mais Il a répondu avec le Tasbih "subhanahu" qui sert justement à
éloigner Allah de tout défaut.
{وَقَالُواْ اتَّخَذَ اللّهُ وَلَداً سُبْحَانَهُ} سورة البقرة : 116
( extrait de l'explication du livre de sheikh Abd Ar-Razzaq ibn Abd
el-Musdin el 'Abbad sur la compréhension des rappels et des invocations.
شرح كتاب : فقه الأدعية والأذكار للشيخ عبد الرزاق بن عبد المحسن العباد )
Lahawla walla kuwata illah billahi lhadim excellent rappel!!!! QAllah nous accorde une belle fin y’a Rab
Un jour on m’a ramené une femme à la salle de lavage des morts. Et la
façon dont ils l’ont ramenée n’était déjà pas convenable pour un mort.
Tout d’abord, ils l’ont ramenée dans une voiture découverte, alors qu’on
était en milieu de journée et que le soleil était brûlant ! Et durant
tout le trajet, les frères qui l’accompagnaient essayaient de tenir
debout dans l’ambulance et n’avaient pas empêché le corps de bouger dans
le véhicule.
Quand le convoi est arrivé au cimetière, la femme
était sur le sol.
Le corps avait glissé de la civière sur le fer du
véhicule. Ils l’ont descendue et les sœurs se sont chargées de la laver.
Après le lavage, nous avons fait la prière mortuaire sur elle dans la
mosquée. La prière mortuaire s’est déroulée normalement, mais lorsque
nous avons voulu descendre son corps dans la tombe, nous avons été
incapables de la bouger. Cela veut dire que nous n’avons pas pu
l’enlever de la civière pour la mettre en terre. Pourtant les gens qui
étaient là pouvaient retourner une voiture, mais ils n’ont pas pu bouger
le corps même d’un seul centimètre.
Trois de ses enfants sont descendus
dans la fosse, quant à moi j’étais près de l’ouverture, prêt à recevoir
le corps pour aider à la descendre mais je n’ai pas pu ! Imaginez la
scène ô mes frères ! J’avais les pieds sur l’ouverture de la tombe et
quand j’ai vu que tous ceux qui étaient là n’ont pas pu bouger le corps,
mes jambes se sont mis à trembloter d’angoisse !
Quand l’un de
ses fils qui étaient en bas a vu la scène, il est tombé à genoux et
voulait hurler de douleur voyant le corps de sa mère que personne
n’arrivait à bouger. Je lui ai fait un signe de ma main comme quoi « ne
dévoile rien et ne crie pas ! » L’un des frères qui était avec moi m’a
dit qu’il y avait un clou sur l’éponge du brancard, j’ai reculé pour
essayer d’enlever le clou mais je n’y ai pas réussi. Comment faire alors
? Car il y a des cas que nous voyons mais qui ne sont pas mentionnés
dans le fiqh des morts. Alors j’ai contacté un chaykh à Riyad.
Je
lui ai raconté l’incident brièvement alors il m’a dit de lire du Coran.
J’ai dit : « mais cheykh, le Coran n’est d’aucune utilité pour le mort !
» Il m’a dit : « Lis, et il n’y aura que du bien in sha Allah ». J’ai
commencé à lire des extraits de sourates, un peu de Yassin, un peu de
Qaf, un peu de Mulk sans finir les sourates. Je lisais et en même temps
les hommes essayaient de la descendre. Normalement on descend le mort
par la tête. Et lorsque j’avais fini de lire, ses pieds commençaient à
se laisser bouger.
J’ai dit « Al hamdulilah, c’est un bon début ».
Pendant que les frères la descendaient dans la tombe je lisais encore
jusqu’à ce que je me sois assuré que ses pieds sont descendus sur les
bras de son fils ainé. J’ai alors arrêté de lire, et là ils ont lâché le
corps ! Je leur ai demandé pourquoi, ils ont dit : « Nous trous n’avons
pas pu supporter son poids trop lourd, si nous avions continué à la
soutenir nous aurions été projetés contre la tombe. »
J’ai dit
aux frères de recouvrir la tombe avec le brancard. Je ne pouvais pas
toucher le corps de la femme sauf si elle n’avait eu personne de sa
famille, alors j’ai demandé à ses enfants de la tirer pour la ramener
vers la qibla et ouvrir les attaches. On voulait la tirer sur un espace
d’un demi mètre pour l’orienter vers la Qibla, imaginez mes frères que
lorsqu’on l’a tirée sur cette distance, cela a creusé un de ces trous !
Même si j’avais voulu le faire avec une pelleteuse je n’aurais pas
réussi à faire pareil et aussi vite ! Soudain son fils a pris ma tête et
a commencé à me supplier : « garde le secret de ma mère, qu’Allah ne
dévoile pas les tiens ! »
« Mais moi je ne peux rien faire, tu as
tout vu sous tes yeux ! » « Oui, garde le secret de ma mère, qu’Allah
te garde les tiens ! Lorsque nous remonterons, je te parlerai d’elle. » «
Non dis-moi maintenant ! » « Non ! Lorsqu’on remontera ! Mais j’ai
juste une petite demande, vois-tu, j’avais vu ma mère après le lavage,
avant qu’elle soit mise dans le linceul, est-ce que je peux découvrir
son visage là et lui jeter un dernier regard ? » « D’accord, attends que
je sorte de la tombe ainsi que l’autre homme qui n’est pas un mahram.
Ensuite vous pouvez ton frère et toi lui jeter un dernier regard.
Personnellement je ne sais pas si cela est permis ou pas. »
Mais
lorsque nous avons fini d’ensevelir le corps de cette femme, j’ai
agrippé son fils afin qu’il me parle de l’état de sa mère. Mais il s’est
mis à embrasser ma tête et à me demander pardon en disant : « Ô chaykh,
je ne peux pas ! » « Mais tu m’as promis ! » « Oui je te l’ai promis
avant de voir ma mère ! Mais après avoir découvert son visage, j’en suis
incapable ! » Il a dit : « Je peux te dire seulement une chose, la
femme qu’on vient d’enterrer n’est pas ma mère ! » « Mais comment mon
fils, ceci est pourtant écrit sur l’autorisation d’enterrement ! » «
Non, ce n’est pas ma mère ! Car quand j’ai embrassé ma mère après le
lavage, son visage était éclatant de blancheur, par contre celle qu’on
vient d’enterrer avait le visage noir comme du charbon ! » « Pourquoi ? »
Les frères commençaient à se rassembler autour de la voiture et là il
s’est enfui ! Mais Allah exalté soit-Il a voulu que quelques mois plus
tard je lave son cousin et qu’il soit avec nous pour la prière
mortuaire. Il n’était pas loin de moi dans le rang de prière. A la fin
de la prière il m’a dit : « Tu ne m’as pas reconnu ô chaykh ? » «
Rappelle-moi, qu’Allah t’en récompense ! » « Te souviens-tu de la femme
qui refusé de descendre dans la tombe ? » « Oui ! »
Il avait
laissé pousser sa barbe, portait des vêtements de sounna et l’on voyait
la trace de soudjoud sur son front (prosternation). Il a dit : « Je suis
son fils, et je raconte son histoire dans toute les mosquées où je vais
prêcher. » « Mais je ne sais pas si tu es son fils ! » « Si je le suis !
Et je peux t’en donner la preuve ! » Mais son fils s’était enfui sans
me parler de ce qu’il m’avait promis ! Il ne m’a pas dit pourquoi ? «
Mais là je vais t’en parler pour reposer m’a conscience ! Entre temps
j’ai fait le hadj pour ma mère et aussi la Omra. J’ai aussi fait
construite une mosquée en son nom ! J’ai installé des fontaines d’eau
fraîche dans de nombreux endroits, rien que pour oublier ce visage noir
que j’ai vue, mais je n’y suis pas arrivé ! Mais je vais te dire
pourquoi elle avait un tel visage ! »
Alors qu’a dit ce fils concernant sa mère, ô mes frères ? Lui qui sera témoin contre elle le jour de la Résurrection.
MA MERE NE FAISAIT PAS LA PRIERE ! « Quoi ? » MA MERE NE FAISAIT PAS LA
PRIERE ! « Mais pourquoi ne pas nous l’avoir dit ? Nous ne l’aurions
pas lavée, ni fait la prière dessus, ni enterré dans un cimetière de
musulmans ! » « Je n’ai pas pu ô chaykh ! C’était horrible de vous voir
essayer de la descendre dans la tombe et de voir qu’elle refusait cela !
»
Le Prophète ﷺ a dit : « Certes entre un homme et l'association et la mécréance il y a l'abandon de la prière ». 📚 Source : [ Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°82 ]