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~ NEWS ~ : Dylan Thiry, candidat de kohlanta converti à l’islam



Dylan Thiry, candidat de kohlanta converti à l’islam, vient d’offrir un cadeau somptueux à des abonnés suivant son direct sur Instagram.

Qu'Allah le récompense

ce mardi 28 avril, en plein live Instagram, Dylan a offert le pèlerinage à la Mecque à six filles et leur maman. Pèlerinage qu'ils pourront effectuer après le confinement inshaAllah 

#BRAVO Dylan !!!



De confession musulmane, Dylan Thiry a également abordé le sujet. 

Lui qui est plutôt discret en ce qui concerne sa vie familiale et ses croyances, s’est laissé aller à quelques confidences. Le candidat a confié qu’il ne souhaitait pas exposer ses croyances par le passé car c’était personnel mais que désormais, il souhaitait l’afficher.

Il poursuit et explique qu’il est converti à la religion depuis 9 ans. 

Dylan ajoute sa religion fut une des grandes raisons de son déménagement à Dubaï. Sa famille présente chez lui ainsi que Fidji Ruiz feront également le Ramadan. 

Le jeune homme a promis de donner plus d’explications à ce sujet, quand il sera prêt. Le candidat a d’ailleurs publié une photo de lui entrain de prier avec ses frères sur son compte Instagram. Une publication qui lui a valu énormément de compliments de la part des internautes









 


~ NEWS ~ : Coronavirus : ni rapatriement ni place dans les cimetières français, la détresse des familles musulmanes



La suspension des rapatriements des défunts dans leur pays d’origine à cause du Covid-19 plonge dans le désarroi les familles musulmanes.

 


Le patriarche Mohamed avait cotisé dans « la caisse familiale pour payer le rapatriement et les obsèques au bled ». Mais ses dernières volontés ne pourront être respectées. Pas de rapatriement possible en Algérie car la famille ne présente pas « le certificat de non-contagion ». 

Le grand-père sera finalement inhumé en petit comité dans un cimetière de Seine-Saint-Denis, département où il a vécu plus de 50 ans.

À l'instar de Mohamed, de nombreuses familles endeuillées sont plongées dans la détresse car dans l'impossibilité de réserver l'adieu qu'ils souhaitaient à leurs proches. La suspension des rapatriements des défunts dans leur pays d'origine à cause du Covid-19 se conjugue au manque de place dédiées à leur culte dans les cimetières en France.


« 15 jours entre le décès et l'inhumation » dans le Val-de-Marne

« Le Maroc et la Tunisie ont suspendu les rapatriements des corps, l'Algérie fait des exceptions, sauf pour les morts du Covid. Et pour les pays de l'Afrique subsaharienne, il n'y a pas plus de trafic aérien », résume le responsable des pompes funèbres musulmanes Al Janaza, à Pierrefitte (Seine-Saint-Denis). Seuls des vols cargo sont maintenus vers la Turquie, dit-il.

Depuis un mois, il est « débordé par les appels. Il y a beaucoup de décès, on doit gérer les émotions des familles, les rassurer et surtout essayer d'enterrer rapidement » comme le prescrit le rite funéraire musulman.




Cela a été compliqué pour le père de Rachid (prénom modifié), décédé le 4 avril du Covid-19, à 87 ans, dans une commune du Val-de-Marne dépourvue de carré musulman. Son fils a dû « batailler » plusieurs jours pour trouver une place dans une ville plus éloignée. « Il se sera écoulé presque 15 jours entre le décès et l'inhumation, alors que dans la tradition, c'est trois jours ! C'est inhumain », déplore-t-il, rappelant que le souhait initial de son père était de se faire enterrer au Maroc.

« 600 carrés musulmans » pour 35 000 cimetières

« La création de nouveaux espaces d'inhumation pour les musulmans est indispensable », a rappelé dimanche le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, Hafiz Chems-eddine. Une demande partagée par le Conseil français du culte musulman (CFCM).


Son président Mohammed Moussaoui insiste aussi sur la problématique des rapatriements. « En temps normal, environ 80 % des défunts se font enterrer dans leur pays d'origine », indique-t-il, ajoutant que « la première génération préfère être inhumée près des parents ».



« C'est l'envie de s'inscrire dans une filiation rompue par la migration où des fratries ont été séparées », abonde Valérie Cuzol, chercheuse au centre Max-Weber à Lyon, auteure d'une enquête sur « les enjeux de l'inhumation » dans les familles maghrébines. Une logique de retour également constatée chez les familles italiennes ou portugaises.
Au Maghreb, le retour post mortem est favorisé par les Etats qui, pour certains, financent une partie du rapatriement, comme en Tunisie. Au Maroc, les familles souscrivent des contrats auprès des banques qui se chargent des obsèques.




Avec la suspension presque totale de ces rapatriements, « la crise vient révéler le manque de carrés musulmans » en France, estime M. Moussaoui, qui évalue ces espaces dédiés à « environ 600 », sur 35 000 cimetières.

Pas une obligation de disposer d'un carré confessionnel

Selon lui, des cimetières sont « en tension », dans les Hauts-de-France, en Ile-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur, « là où la population musulmane est concentrée ».
Pour une commune, avoir un carré confessionnel (musulman, juif, etc.) « n'est pas une obligation », rappelle l'Association des maires de France, le cimetière devant d'abord être neutre et laïque, du moins dans ses parties communes. Une circulaire de 2008 a cependant encouragé les maires à le faire.





À Bobigny, Villetaneuse (Seine-Saint-Denis), les cimetières communaux affichent complet : « plus aucune inhumation », indiquent les municipalités, s'en remettant aux cimetières intercommunaux. À Arras (Pas-de-Calais), où le carré est saturé, le recteur d'une des trois mosquées, Mohammed Messaoudi, raconte avoir dû, en collaboration avec le maire, chercher des solutions, pour deux fidèles décédés, auprès des communes alentour.

« À ce rythme, dans trois semaines, il sera complet »

La décision d'accepter une inhumation dans son cimetière étant une prérogative du maire, « c'est angoissant, pour les familles, d'attendre cette décision », relève M. Moussaoui.
Le maire de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), Patrice Leclerc, est « contraint » de refuser les demandes des familles qui ne sont pas de sa commune : « Je fais comment, si je ne peux plus faire enterrer mes habitants ? ».


 








~ NEWS ~ : Possible annulation de la prière de Tarawih en Arabie Saoudite



Un responsable religieux saoudien a fait état de la possibe l’annulation de la prière de Tarawih dans les mosquées, durant le mois béni de ramadan, en cas de la poursuite de l’épidémie du coronavirus.


Selon l’agence de presse turque, interrogé par la chaîne Al Saoudiya lors d’un entretien téléphonique, Mohammad al Aqil, représentant du ministère saoudien des affaires islamiques a indiqué :
 « Tant qu’un nouvel ordre n’est pas donné par le haut conseil des oulémas, la suspension des prières va se poursuivre. »



Pour sa part, Ahmad al Mansouri, représentant du centre de l’administration des lieux saints s’est exprimé ainsi sur la tenue des prières collectives dans les lieux saints de l’islam :
 « Le haut comité de ce centre évalue les programmes liés à la tenue de la prière de Tarawih dans la mosquée sainte durant le mois de ramadan. »

Le conseil des hauts oulémas saoudiens a interdit, le 18 mars dernier, les prières collectives dans les mosquées, afin de prévenir la propagation du coronavirus.


 









~ NEWS ~ : ALERTE Le coronavirus pourrait vous contaminer jusqu'à 4 mètres d'un malade.




#ALERTE Le coronavirus pourrait vous contaminer jusqu'à 4 mètres d'un malade. 
Selon une étude réalisée dans un hôpital de campagne de Wuhan et publiée vendredi 1O avril par les Centres américains de prévention et de contrôle des maladies (CDC), le #Covid19 contamine à la fois les surfaces et l'air à proximité des patients, et jusqu'à quatre mètres d'eux.
Une limite importante de l'étude, publiée par la revue des CDC Emerging Infectious Diseases, est que le test employé permet de détecter la présence du virus, mais pas la quantité de virus viable.
 Autrement dit, ce n'est pas parce que le virus éjecté dans l'air par les éternuements ou respirations des patients peut voler jusqu'à quatre mètres, que ces particules seront en quantité suffisante pour infecter quelqu'un.
Les chercheurs chinois ont réalisé des prélèvements dans un service de réanimation (15 patients) de l'hôpital de campagne Huoshenshan de Wuhan entre le 19 février et le 2 mars, ainsi que dans un service de soins généraux avec des malades moins graves (24 patients).
Il s'agit de l'hôpital préfabriqué qui avait été construit en 10 jours par une armée d'ouvriers au début de l'épidémie dans la ville.
Les prélèvements ont été faits sur les sols, les souris d'ordinateurs, les poubelles, les rambardes des lits, les masques des patients, les équipements de protection des soignants, les bouches d'aération, ainsi que dans l'air des chambres à plusieurs endroits.
"Le SARS-CoV-2 était largement distribué dans l'air et sur la surface d'objets dans les services de réanimation et de soins généraux, ce qui implique un risque potentiellement élevé de contamination pour les personnels soignants et les autres contacts proches", écrivent les chercheurs
.
- Semelles des chaussures -
Les zones les plus contaminées étaient près des patients en soins intensifs. 
Les objets les plus contaminés étaient les souris, suivies des poubelles et des lits et poignées de portes.
Mais la moitié des semelles des chaussures du personnel soignant avait également des traces de virus. "Nous recommandons fortement aux personnes de désinfecter les semelles de leurs chaussures avant de sortir de services où se trouvent des patients du Covid-19", en concluent les chercheurs.
Ils conseillent aussi de désinfecter les masques après utilisation, avant de les jeter.
Le virus a aussi été détecté dans l'air: plus souvent près du lit du patient que près des stations de travail des médecins.
Mais ils en ont trouvé une fois à quatre mètres du malade, ce qui leur fait écrire que "la distance maximale de transmission d'un aérosol de SARS-CoV-2 pourrait être de quatre mètres".
Le virus a aussi été trouvé sur la bouche d'aération par où l'air des chambres est évacué.
Etant donnée la contamination importante de l'environnement des patients, les chercheurs estiment que "l'isolement à domicile des personnes avec un Covid-19 suspecté pourrait ne pas être une stratégie efficace de contrôle".
Le mode principal de contagion du nouveau coronavirus est les gouttelettes relativement grandes produites quand on tousse ou éternue.
Mais nous émettons aussi des gouttelettes microscopiques en parlant et en respirant, et la présence du coronavirus en quantités suffisantes à l'intérieur de ces gouttelettes (aérosols) fait l'objet d'un débat scientifique intense. 
Par précaution, les Etats-Unis ont recommandé de se couvrir le visage, pour éviter que des personnes porteuses du virus mais sans symptômes ne contaminent d'autres gens en parlant ou en respirant.
... mais toujours pas en France ! #OnOublierapas
Avec Afp - 10/04/2020 23h40
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~ NEWS ~ : Coronavirus en Algérie : tous les malades seront traités à la chloroquine




Le ministre algérien de la Santé a annoncé que la chloroquine sera utilisée pour traiter tous les malades atteints du coronavirus en Algérie. 

Alors que le gouvernement français rechigne à généraliser l'usage de l'hydroxychloroquine pour le traitement du coronavirus et la réserve seulement aux cas graves, de l'autre côté de la Méditerrannée, l'Algérie a décidé que la chloroquine sera administrée en traitement à tous les cas confirmés de Covid-19.

Le ministre algérien de la Santé Abderrahmane Benbouzid l'a ainsi annoncé le 31 mars, confirmant une information qui circulait déjà depuis une semaine dans le pays. 

«Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé, s’appuyant également sur l’avis d’autres spécialités et experts, a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination», a déclaré Abderrahmane Benbouzid à la Chaîne 3 de la Radio Algérienne. 



«À nos yeux, et sur la base des expériences vécues, nous espérons que cette méthode permettra de réduire le nombre des personnes atteintes», a-t-il ajouté. «La Chloroquine est une molécule antipaludéenne d'usage courant dans le traitement du paludisme, des maladies rhumatismales et dans le lupus», écrivait déjà le ministère algérien de la Communication, le 24 mars, dans un communiqué.
«Elle a donné des résultats prometteurs contre le coronavirus Covid-19 en augmentant les capacités immunitaires de l'individu. Elle est produite localement et en quantité suffisante pour traiter les patients selon le protocole établi par les experts», détaille le communiqué.

En Algérie, le dernier bilan de la contamination au Covid-19, établi le 30 mars, fait état de 35 décès 584 cas confirmés d'infection à l'épidémie.

 Plusieurs pays ont déjà intégré la chloroquine comme traitement contre le coronavirus.

 Parmi eux, les Etats-Unis, le Venezuela, l'Iran, la Belgique, les Pays-Bas, le Maroc, l'Inde, la Corée du Sud, l'Italie et bien sûr la Chine dont les chercheurs ont produit des études sur cette molécule. 

 


En France, le débat entre pro et anti professeur Didier Raoult fait rage et le gouvernement a décidé de limiter l'usage du traitement préconisé par ce spécialiste en infectiologie aux seuls cas graves. Didier Raoult répète pourtant à l'envi que lorsque l'état du malade est trop avancé et qu'il se retrouve en réanimation, ce traitement n'est plus efficace et qu'il est à prendre au début de la maladie lorsque les symptômes ne sont pas sévères. Ses détracteurs lui reprochent la fragilité de son étude.

 A Marseille, où il préside l'IHU Méditerranée infection, Didier Raoult a cependant décidé de tester tous les patients et de prescrire son traitement à base de l'association d'hydroxychloroquine et de l'antibiotique azithromycine.







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