Après le vote de l’ONU condamnant à une grande majorité la décision de
Donald Trump de reconnaître Jérusalem capitale de l’état hébreu, il y a
lieu de s’attarder sur les neuf pays qui ont tout de même voté contre la
résolution à l’Assemblée générale des Nations Unies.
Neuf pays qui seraient prêts à reconnaître, à l’instar des Etats-Unis, Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste. Outre les principaux intéressés, les Etats-Unis et l’entité sioniste, sept pays parmi lesquels le Guatemala, le Honduras, les îles Marshall, la petite île du Pacifique Nauru, les Palaos, la Micronésie et le Togo se sont rangés du côté américain et sioniste.
Neuf pays qui seraient prêts à reconnaître, à l’instar des Etats-Unis, Jérusalem comme capitale de l’entité sioniste. Outre les principaux intéressés, les Etats-Unis et l’entité sioniste, sept pays parmi lesquels le Guatemala, le Honduras, les îles Marshall, la petite île du Pacifique Nauru, les Palaos, la Micronésie et le Togo se sont rangés du côté américain et sioniste.
Avant le vote, Donald Trump fidèle à lui-même et son envie irrépressible de gagner sur tous les fronts, a menacé les pays qui voteraient contre sa décision de leur couper les aides.
Une manière démocratique à laquelle ont recours habituellement les
Etats-Unis et l’état hébreu pour obtenir gain de cause, mais leurs
intimidations n’ont pas eu l’effet escompté et seuls sept pays se sont
laissés convaincre.
Les alliés indéfectibles ont par contre senti le danger de céder à un engagement aux conséquences catastrophiques et n’ont pas hésité à voter en faveur de la résolution à deux Etats, tels la France, l’Autriche, la Belgique etc…
Les alliés indéfectibles ont par contre senti le danger de céder à un engagement aux conséquences catastrophiques et n’ont pas hésité à voter en faveur de la résolution à deux Etats, tels la France, l’Autriche, la Belgique etc…
En tout, 128 pays ont voté pour, 9 contre et 35 se sont abstenus, dont le Canada — 21 n’ont pas pris part au scrutin.
Dans son désir d’enrôler un nombre toujours plus importants d’alliés, l’entité sioniste s’est rapproché de plusieurs pays africains subsahariens.
Il a réussi à rétablir ses relations officielles avec
trente-neuf de ces pays, mais seul le Togo a soutenu la décision
américaine concernant le statut de Jérusalem.
Ceci s’explique en partie
par la visite à Jérusalem de Faure Gnassingbé, le président de la
République togolaise en septembre dernier.
Un rapprochement entre les deux gouvernements qui s’explique aussi par une politique basée principalement sur la violation des droits internationaux et la répression de la population.
Un rapprochement entre les deux gouvernements qui s’explique aussi par une politique basée principalement sur la violation des droits internationaux et la répression de la population.
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